• L’équilibristes des courses

    Par Dhimwoe dans Dhimwoe le 14 Avril 2006 à 20:33

     

    Reste avec moi a déclaré la mort affolée des costumes anciens déterrés dans les fonds enténébrés. Envoyer en l’air depuis l’arrière des rayons séculaires nauséabonds. Les chiens sans laissent défilent devant de putrides corps écartelés.

    Tout va bien dans l’eau trouble coupée au divin rouge perdu au-dessus de nul part. Je regarde presque rien au loin des chiffres des valeurs boursières. Ils réconfortent les soleils d’abîmes fantastiques, en rythme, coupé par des attractions terrestres et décuplent les chances de semer toute sa vie des graines jamais récoltées.


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  • L ’heureux lick

    Par Dhimwoe dans Dhimwoe le 13 Avril 2006 à 07:16

    A chaque fois je recherche du temps à mesurer. Je chauffe mes os devant le feu. Autour des sons des cloches brisées à force de raisonner en écho. Futile devient le secret garder sous l’aile, à l’abris des regards ou se devine le incompréhension innocente des pleutres en impair couleur pluie, sous des visages nus. Plusieurs sont invités dans la comédie, à la lumière tamisée des bougies enfermées dans des costumes de verre. Nous ne serons plus seul à partager ces moment devant des spectateurs amateurs de sentiments synthétiques, plastiques, famélique.


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  • Merci à Majuscule et à l’ horizon

    Par Dhimwoe dans Dhimwoe le 11 Avril 2006 à 09:08
    Il viendra, il est là à deux pas des maisons sans fenêtres masquée de brumes. L’angoisse monte et s’éparpille dans un hurlement sec. La nuit pourfend les rêves, en fait des cauchemars d’enfant. Lisse les mots, nul ne t’attend sauter. L’horizon rayé t’échappe par ses sommets insensés. Sur la grève, je m’en doute tout seul, tu espères encore pour deux. Croise ma route et rugit. Le silence monte aux alentours. Mes yeux se décollent pour toujours. Sauter sans chaînes asséchées. Te prendre dans un décor ou les courbes se défont.

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  • Forte violence

    Par Dhimwoe dans Dhimwoe le 10 Avril 2006 à 09:46
    En l'absence de filet sur les murs recouverts d 'égratignures aux sulfures d'injures restées bloquées sur un palier, un seul et non des moindres. L'orange perçoit ses douleurs mécaniques décortiquées de ses quelques pépins. Les agrumes au jus vite animé reflètent en ses chants d'automne les derniers résultats connus à ce jours sous la pluie. Coupe mes yeux d'un filet marin et entre les incrustations martelées au front des portes hautes iris fermées. Eclipse les données jetées aux normes irréfutables. L'effigie soulève des monts enneigés aux cieux rouges.

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  • texte haut +

    Par Dhimwoe dans Dhimwoe le 7 Avril 2006 à 07:00

    Sang moi je t’ai ouvert les veines. La nécessité d’un voyage circonscrit en des circonstances produites aux cours d’essais ratés. Les paradoxes s’enchaînent les plans s’effondrent. L’irrationnel te sied bien, à toi, c’est probablement ton côté humain.

    Je cherche dans ces sentiments une forme de réconfort, de calme et de sérénité inconcevable ailleurs, à mes yeux. Dans les enquêtes ressortent les chiffres en gras. Ceux tout à l’heure montrés dans le journal.


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