• Marchons sur la dune

    Délit dans le sable

    Défi sous les nuages d’enclume

    Sur l’instant moments agréable

    Fragiles mots sous ma plume

    Compte jusqu’à trois

    Maintenant là ,tu clumes

    Attends là-bas et retournes toi

    Figé dans le sol de glace

    Le terrain se recouvre de neige

    Pour une partie de face à face

    Je m’en vais jouer en arpège.

     

     


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  • Je me retourne et te vois en face de moi. Moments merveilleux mais là, la réalité nous rattrape au carrefour de nos vies. Nous restons en mouvement, aucun de nous ne souhaitent arrêter ces sensations. Il est temps pour moi de prendre le prochain train, de rentrer. Aucun de nous ne le dis et pourtant chacun se demande si cet instant ensemble est le dernier si les mots sacrés peuvent êtres là échangés. Le regarde vague tout autour je considère la foule, un silence m’empli, j’entends tes non dis. J’enregistre ces dernières images pour l’éternité. Je prends ta main et y place quelque chose en son creux, un symbole de notre histoire. Laisse moi en ces gares égaré. Encore quelque secondes et puis plus rien




    Les yeux ne sont plus silencieux, les mains ne se tiennent plus, les conversations se vident en nudité absolue. Le désir disparaît derrière une porte fermée, un baiser volé électrocute ma peau nette jaune bleuté, les secrets se dissipent à la nuit tombée.


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  • Effondré entre quatre murs lissent de plus de 2000 mètres. Où l'horizon prend fin les espoirs même les plus simples s'arrêtent après une dernière note aiguë. Le son du silence m'horripile. J'avise à voler sans aile. J'apprends à te nommer muet. Les cordes vibrent, les sons ne sortent pas. L'averse des songes en sang se déversent entre les rebonds. Les échos naissent et meurent en d'infimes secondes, juste le temps d'en produire d'autres et ainsi de suite.

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  • Invisible récurrence des sentiments d’antan. Au regard des portraits en noir et blanc, là, personne d’aigris ne traverse les routes limitées de chaque côtés par des séries interminables de platanes en train de bourgeonner. Pas un nuage en vu. Un ciel limpide annonce la fin des tempêtes pour une durée indéterminée. En route vers des horizons bleus où les pylônes d’acier reflètent la marque des bâtisseurs de force imagés. Structure en fer et en faire de plus en plus pour semer des parcours de vies aux étapes indéterminées.

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  • Rupture d’apport d’accroche et de roche en ces mondes incertains ou se nourrissent les anges avant la fin. L’île des mirages grince en un court instant seulement pour exister un dernier moment avant l’inconnu, la source des peurs. Une quantité extraordinaire de maniaques assoiffés de vengeance sanglante et par nature archaïque défenestre ces orateurs baladés devant toutes les ouvertures par de grosses ficelles au chanvre jaunit à l’idée de recommencer à nouveau la même scène pour le même public en mal de goût roux ou brun selon les jours.

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