• Merci à Majuscule et à l’ horizon

    Il viendra, il est là à deux pas des maisons sans fenêtres masquée de brumes. L’angoisse monte et s’éparpille dans un hurlement sec. La nuit pourfend les rêves, en fait des cauchemars d’enfant. Lisse les mots, nul ne t’attend sauter. L’horizon rayé t’échappe par ses sommets insensés. Sur la grève, je m’en doute tout seul, tu espères encore pour deux. Croise ma route et rugit. Le silence monte aux alentours. Mes yeux se décollent pour toujours. Sauter sans chaînes asséchées. Te prendre dans un décor ou les courbes se défont.

  • Commentaires

    1
    Mardi 25 Avril 2006 à 15:53
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    à l'essentiel, prendre ce train en retard
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