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    Sang moi je t’ai ouvert les veines. La nécessité d’un voyage circonscrit en des circonstances produites aux cours d’essais ratés. Les paradoxes s’enchaînent les plans s’effondrent. L’irrationnel te sied bien, à toi, c’est probablement ton côté humain.

    Je cherche dans ces sentiments une forme de réconfort, de calme et de sérénité inconcevable ailleurs, à mes yeux. Dans les enquêtes ressortent les chiffres en gras. Ceux tout à l’heure montrés dans le journal.


  • Commentaires

    1
    Samedi 8 Avril 2006 à 10:32
    Je redecouvre
    Je redecouvre avec plaisir tes mots coller sur le papier en encre dorée.
    2
    Samedi 8 Avril 2006 à 11:46
    J'écris rouge
    [sang] sans dire tout ce que je ressens. Je voudrais vous préserver de tout ça. De tout ça et aussi de tout ce que j'ai vécu et que je n'aime pas. Et maintenant que je me sens sûre de moi, je voudrais voir s'enfuir tout ce sang, tout ce pire qui occupent mes souvenirs. J'ai des cris bien à l'abri des regards indiscrets de ceux qui ne ressentent pas l'absence. J'écris rouge sans vouloir des pensées qui feraient l'économie de ma plus profonde fierté. J'écris rouge, je crie tout ce que j'ai sur le coeur mais avec un pansement appliqué sur tous les épanchements de ce que j'ai su oublier. Sans laisser saigner...
    3
    Samedi 8 Avril 2006 à 12:57
    Que
    de blessures enfouies colmatées sous l'ombre des regrets non exprimés...à l'abri sous le masque..qui sommens nous?...merci pour ton texte émouvant...
    4
    Mardi 25 Avril 2006 à 15:41
    vie
    Petit poète sur son lit rouge, quitte le fleuve pour se jeter dans la mer, une flamme qui tremble et c’est son souffle qui l’étain.....
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