• L ’heureux lick

    A chaque fois je recherche du temps à mesurer. Je chauffe mes os devant le feu. Autour des sons des cloches brisées à force de raisonner en écho. Futile devient le secret garder sous l’aile, à l’abris des regards ou se devine le incompréhension innocente des pleutres en impair couleur pluie, sous des visages nus. Plusieurs sont invités dans la comédie, à la lumière tamisée des bougies enfermées dans des costumes de verre. Nous ne serons plus seul à partager ces moment devant des spectateurs amateurs de sentiments synthétiques, plastiques, famélique.


  • Commentaires

    1
    Jeudi 13 Avril 2006 à 18:44
    Dhimwoe
    dans la lumiere du temps effacé ton image se décompse en morceau refoulé. suis un peu plus absent ces jours ci, mets c'est tj un plaisir de te lire Amitié
    2
    Mardi 25 Avril 2006 à 15:55
    très beau texte
    vraiment, sincère
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