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Dans l'ombre des jours à venir luit
Les forces en amours en dehors des traquas
Où l'effluve iodée vole au-dessus des parois
Des plaines ressortent des sons, des mots ditsTendresse et près vert ou l'on tourne des rubans
De cellulose bientôt imprimées de noir et blanc
La lumière reste et marque à jamais cette vie
Les regards s'échangent dans un cadre bien définitIls se disent pour toujours, on les croit en rêvant
Bientôt les forces du mal les laisseront aux abois
Dans des tours enchaînées et recouvertes de pois
Les bouts de doigts retiennent la peur en griffantLes corbeaux bientôt grignoteront cette nuit
Les prunelles brillante encore vivent ce matin
Où nous lisions notre passions sans fin
Ecorché bientôt mort par ce mal qui l'ai a prisTête ébouriffée et crâne gelé lentement
Maintenant tu as atteint le stade de la rage
Les filets de baves te rendent encore plus sauvage
Vois-tu au fond ce qu'aurez fait de nous les ans.
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Jours après jours quand les grandes rides nous barrent
Le front, les mains et la ligne de nos regards
Sentiments toujours exacerbés aujourd'hui
Malgré tous les monts enneigés à jamais franchisHeure après heure les nouvelles m'ont dépassé
Jusqu'à ne plus savoir sur quel pied danser
Nous avons résisté et garder nos envies
Dans un monde ou plus rien n'éclaire nos nuitsSeconde après seconde voir s'évanouir la haine
Regarder devant pour soulager nos peines
Et puis soudain étouffer dans un dernier cri
Redonner naissance à une forme de vie.
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Ne sont plus à naître et deviennent des lois
toutes ces histoires d'elle au dessus des flots
Regarde dehors et compte les souches
Les feuilles mortes se ramassent à la fourcheMoi aussi je n'ai pas oublié, tu vois
statique sous la grisaille je prends des photos
Discrètement fais de gros plans sur ta bouche
A t'entendre murmurer je fais moucheSur tes lèvres rouges tu poses un doigt
Princesse me voilà sur le sol de dos
De tes souvenirs de vers tu me touche
J'en brûlerais ma vie et serait faroucheEn ces terres fertiles je suis ton roi
Et règne sur l'ensemble de ton corps beau
J'enlève tes écailles une à une sous ma plume
Et trace à leurs emplacements des runes.
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Reste. C'est une stupide histoire d'amour pour moi. Je suis là -bas maintenant. Reste avec moi de l'autre côté du miroir. passe toi doucement entre ces lignes. Je ne veux rien d'autre, je termine là mes recherches. Avec toutes ces faiblesses, j'aime à me perdre dans ton univers de papiers. Je réunis mais cahiers et entame une nouvelle complainte.Tout les enfants pardonnent, surtout les innocents en manque de reconnaissance. Personne à par toi ne produit autant d'étincelles et mets mes neurones à l'envers. Les certitudes se brisent là ou elles sont sensées être les plus solides. Il devient inconcevable de faire marche arrière, à travers ces sentiers nouveaux jamais atteins jusque là. Nous nous destinons à mourir en l'absence de l'éternité tant rêvée.
Pas de fleurs aux messages codés, juste un écho, une partie de moi dans un instant de
scintillement.
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Tantde volutes et de fragrances
Dans les contours d'une romance
Volent là où se frôlent les morts
Dans ce no man's land tu dorsMouvements couvés par les silences
Les sensations prennent de l'importance
Enrobé de vêtements cousu de fils d'or
Concentré, je m'aventure à jeter un sortPerléde sueur je rentre en transe
Tendu à bloc résiste à la démence
Sans avant songer à être aussi fort
Je garde espoir en l'étoile du nordEncore quelques secondes de chance
M'amène à savoir ce que tu penses
La magie me conduis à bon port
Par ses voies contournées plus de remords.
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