• Dernière lumière du temps


    Dans l'ombre des jours à venir luit
    Les forces en amours en dehors des traquas
    Où l'effluve iodée vole au-dessus des parois
    Des plaines ressortent des sons, des mots dits


    Tendresse et près vert ou l'on tourne des rubans
    De cellulose bientôt imprimées de noir et blanc
    La lumière reste et marque à jamais cette vie
    Les regards s'échangent dans un cadre bien définit


    Ils se disent pour toujours, on les croit en rêvant
    Bientôt les forces du mal les laisseront aux abois
    Dans des tours enchaînées et recouvertes de pois
    Les bouts de doigts retiennent la peur en griffant


    Les corbeaux bientôt grignoteront cette nuit
    Les prunelles brillante encore vivent ce matin
    Où nous lisions notre passions sans fin
    Ecorché bientôt mort par ce mal qui l'ai a pris


    Tête ébouriffée et crâne gelé lentement
    Maintenant tu as atteint le stade de la rage
    Les filets de baves te rendent encore plus sauvage
    Vois-tu au fond ce qu'aurez fait de nous les ans.


  • Commentaires

    1
    Mardi 10 Octobre 2006 à 16:23
    Bonjour Dhimwoe,
    Superbe, comme toujours, et comme la photo aussi. Triste , en ce moment, je me trompe ?
    2
    Mardi 10 Octobre 2006 à 17:11
    Coucou
    comme d'habitude un bien beau texte, ma question pourtant porte sur les illustrations... sont-elles de toi ? elles sont superbes et très originales.
    3
    Mardi 10 Octobre 2006 à 19:57
    Attention
    Erreur de texte ce matin. Je rends à l'image le texte que je lui ai assigné. Les textes sont le produit de mon imagination , il en est de même pour le photomontage. Merci à tous.
    4
    Mardi 10 Octobre 2006 à 22:02
    DEJA LA…
    Fumée et voir, Vapeur et revoir. Senteurs et émanations, De rires et de dérisions. Des choses se font ; Comme il fait bon ! Le jour n’est plus là, Une clarté est déjà là... Les prunelles brillante encore vivent ce matin. Armand Rothan Manny
    5
    Mardi 10 Octobre 2006 à 23:02
    ...
    certitude éphèmère, lumière tarie au courbe du toujours, les corbeaux s'envolent avec nos rêves autour des pattes...pauvres voyageurs de la nuit ! nous voilà seuls , à présent, dans l'ombre de nos coeurs...lascifs et demolis de douleur
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