• L’urne tarit des nomades en quête d’identité luit de mille et une sueurs froides. Les lectures assidues de textes sacrés aux lueurs des lampes à huile rend sans discernements les transitions factuelles et aussi incertaines pour bon nombre d’incultes aux croyances floues et occasionnelles, dans l’absolu. Les parasites de la vie quotidienne remplacent les maux d’introspection calculables, à l’avance, dans un inconscient impalpable. Des gars roux aux dents longues gravissent la romantique aux chemins incontournables. Tous y mènent en deux temps trois mouvements, sur une quantité de kilomètres illimités. Les beaux jours ruissellent de promesses non tenue à la croisées des chemins ou nous ne nous retrouverons pas. Quoiqu’il en soit les nuages ternes exécutent des valses sempiternelles et ne crient pas gare, au commun des mortels.


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  • S’en aller s’enlever soi même enfin et se retrouver pour mieux apprécier ton regard ancré en des notes amplifiées pas les cris venus d’un espace sombre ou surnage, au balayage des projecteurs, des têtes égayées sans répit. L’acoustique adapté aux goûts des temps vifs, produit l’émotion des systèmes liés à ce spectacle imprévu.

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  • Bleu de pluie sur les murs écrasés. A travers mon horizon brisé laisse moi croire en ces hurlements. Rien est faux dans ce regard claire laissé au hasard du défilement continu d’une imagination surprise de décision électrique. Tu peux retrouver le besoin garder sur des mots de paix en fleurs, dès aujourd’hui. Je reste là à discuter de mes propos favoris, sans songer à quitter ce chapitre au nez rouge. Je saigne probablement dans un intérieur en carnage, dans des passages abscons et abstraits suite au lancement de tirades bien trop aiguisées pour mon raisonnement sans écho d’hommes avertis.

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  • Dans les pluies d’une chanson lointaine, crève l’image dans un torrent d’atmosphère. Souhaiter des nuits encore plus longues sans ces peines. Retrouver les ruisseaux d’or traversés par nos frères. L’été suspendu par des ventres à terres brûlées, l’ignorance tourne dans les marres d’un café noir. Les langues se délient aux contacts du breuvage sacré, accroché sur les restes d’un vieux grillage formé de désespoir. Les sillages s’engorgent une fois réchauffés. L’échine pliée se raidit pour délier ses courbes. Attachée de fils invisibles la camisole m’a cadenassé. Là, ne plus bouger, les trombes d’eaux sales  m’embourbent.


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  • As tu vu souvent ces morceaux de bruits monter aux soleils ? Les échos des murmures tournent entre nos ailes et nourrissent la vie de gentils conseils. Les arbres de vie foncent dans la terre et convoitent les mines tout au fond des pierres aux éclats de lumières aux sons des fièvres. Des consciences ternes tordues par l'ennui et l'épuisement de sombre pareil au visage gris nourrit de promesses. Les chiens sans leur vernis couchent dans la lie des étoiles en fuite et évitent les lanternes en veille. Sans un cri, auprès des amas de pluie, ils engloutissent les frêles esquif de vie en concert.

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