• Sans tirer les limites refreinent les véhicules en difficultés par endroit. Au mieux je sais toujours enlever à temps les étangs sempiternelles aux détours des étincelles de vies. Camions dans le nuit en vrac rétrecit sur des circuits d'enfants ou les vroum sont sifflés entre les deux ou trois dents. Papillonné en ce jour d'été et remise aux calendes les impairs et bottes sous le sable enterré.

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  • Une course pour perdre la partie du temps. Va t'en dans des partitions enchainées. Avec la distance, je regarde mes réflexions sur cette vie là. J'ai déposé l'effet aux dalles déterministes en cercle de confusion. Je reste du début à la fin pour construire des rêves au seuil des frontières aux limites floues. Elles reculent là où l'horizon semblait prendre fin. Je lis un poème , il décrit un monde de nuit dans une image de neige saupoudrée sur un oiseau aveugle remué par la peur d'être assassiné par des marchands de sécurité. L'intrigue grandit à l'extérieur des jardins suspendus sans âmes. Déplacer les barres hautes des dessins de cages d'acier. Lieux uniques encombrés par de funestes destins libérés de matière. Laisse moi éclairer de nouveaux jours.

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  • Dur troubles inconnus de tous, le tonnerre réveille mes maux enfouis dans un passé enterré sur des terres enneigées ou repoussent les mêmes plantes d'années en années. L'innocence continue à faire face aux printemps d'éveil sanglant. Sans penser aux paroles oubliées, ces dernières renaissent à l'aube des torrents ombragés. Ne vois pas de larmes dans mon passage lent et incomplet dans tes pensées lumineuses.

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  • Tu es normale, tu es dans la vie, rentre dans la danse sans être en retard traverse le brouillard. Sage et discipliné, calme et néanmoins une envie folle de briser la glace dans un mouvement de va et viens. Une tension se glisse, une ombre se lève, manipule à main nue de eux à nous et inversement. Des pistes passionnantes d'exploration aspergées d'essence. Fardée par des mains gantées les crayons courent sur tes contours imaginaires. Pas d'interdits, pas de cris. Les limites se franchissent pour éviter l'ennui.

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  • Les mêmes choses qu'hier remplissent les tâches du soleil. La planète tourne dans un espace indéfini d'âme en fraude entre différentes directions. Les drapeaux levés dans les champs d'étoiles tournent autour de ton esprit au destin inconnu. Des fossiles refont surface dans des ères décongelées par des évènements incongrus. Les papillons fuient sans regarder les toiles des monstres à huit branches. Nie en bloque les vingt neuf contradictions alignées devant tes yeux bandés. Pas de reconstruction possible derrière les marches. Les choses sont telles quelles, c'est ainsi, froid, violent, insipide, terne,brut. Il y a du paradoxe la dedans. Les représentations entretiennent des rapports sous jacent face à une assemblée putride. L'humain est encore capable de ...

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