• Roule et tourne sur toi même. Tu te racontes à nouveau des histoires. Si je le pouvais je te laisserais partir, j'enlèverais tes chaînes. J‘aimerais jeter cette vie dans le vent. Regarde toi tu marches, tu as toujours su te déplacer, dans la nuit, dans la pluie, dans le feu. Déplie tes ailes pour te jeter hors de ces frontières l'esprit libre, briser complètement tes conflits et te retrouver en pleine lumière. Quitte cet endroit et va le plus loin possible, tout au fond de toi. Dans un champs ouvert. Tu dors ? Non ?

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  • Tiens debout sur la route de l'enfer. Observe les démons marcher sur les lignes des contes jamais entendus en dehors des nuits d'hivers. Voie les foules ahuries tourner et ralentir, indignent. Ils regardent ton âme sans en prendre une once pour autant. Le besoin de la clé universelle se fait ressentir en ce moment crucial cher aux mécréants, sur le point de devenir glacial par leur fiel. Les gens dénudés, désabusés t'entourent. prennent une distance sur l'idée tissé par ses liens oubliés Avec une pointe de réflexion ils s'engagent dans l'humour. Très vite naissent des rapports où ils s'affaissent devant les toiles criblées.

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  • Couvre moi quand je dors, couvre moi quand je mords. Les nouvelles défigurent la presse. Même si tu ne t'ai jamais aimé. Personne n'a autant franchi les portes de l'Eden en si peu de temps. Enlève les réacteurs, laisse disparaître tes plus pures sentiments de honte sous ce casque transparent. L'espace circule entre les lacs de la vie nocturne. Télécharge ton plaisir de vivre au cœur rythmé d'un semblant de réalité, entretenu dans un jeu aux lignes sinueuses.

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  • Retrouve toi dans mon inspiration n'oublie pas les colliers dans les rues traversées à pieds au pas de course. Le long des remparts encore trempés par la tempête nocturne le souffle court, les bottes dans les flaques les yeux dans le lointain, tu songes aux heures passées enfermées entre quatre murs. Ouvre la porte et rentre dans un univers de fantaisie ou le son est fluide, ou la musique coule. Reviens dans un monde majestueux ou nous pourrons marcher et explorer toutes les sortes de paysages, de pièces et de phrases. Les clés reposent en des rêves oubliés. Ferme les yeux, ralenti ta respiration et vois les décors se créent au fur et à mesure.

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  • La caresse de tes mots glisse sur des paroles étendues sur plusieurs lignes téléphoniques. Les vents s'élèvent et les foulards s'accrochent aux branches dénudées. Les racines s'enfoncent profondément en des terres usées et arides ou poussaient des fleurs jadis. L'horloge sonne son dernier coup avant la levée d'une nouvelle ère sans décors et chargée de mystères. L'inconnu s'efface au fur et à mesure de notre périple. Découvrir ton âme, effeuiller tes peurs, défaire ta douleur passe par des tranchées de vies encerclées de mes lueurs.

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