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    Sang frais étrenné dans les limbes des conversations anodines. Survivre aux lancés de bijoux et retourner les terres enchantées. Les cordes ardentes brûlent et éliminent les valeurs des plus faibles.

    Conduire à la délivrance de l’ensemble des pôles accessibles. Croire en la régulation de l’énergie pour impliquer les corps lointains. Pourfendre des causes vagues et inutiles. Cette trinité tourne autour d’oreilles innocentes en recherche de sens unique. Accepter une parcelle de solidarité et se projeter dans l’éternité.

     


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    Ouvre les voies rapides je souhaite te voir ainsi. Dans les filets des étoiles en scène respire des  âmes sans cibles spécifiques. .Essaie de remonter les durs moments de la vie en de vrai temps de croissance et de transition. La prochaine peur est le stade immédiat à franchir. Le noir, l’inconnu, les routes illimitées et toutes droites. La planète tourne pour des raisons toujours identiques depuis, la nuit détend. Alors laisse tomber la neige cela ne fais pas de bruit.

     

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    Le gouffre de nos combats renvoi la preuve de mes erreurs. J’avance. Tir des mots, défais les nœuds et utilise un soupçon de chance.
    Le froid dans les yeux fusionne sur les formes sculptées des chaleurs assassines.

     Désœuvré dans un contour propre à l’errance, j’ausculte l’intérieur de l’inconscient abîme surexcité à l’idée de décoller. Cent pour cent des contes, peut-être, transpirent dans des rêves incompris et volés.
    Les pluies renaissent, des impairs trempés, sous les cris enfermés au fond de ma bouche clôturée. Le regard propulse des semblants de hurlements jamais entendus. L’arbre sans nom survit aux tempêtes. Les branches alliées aux vents produisent des sons, des chants d’un futur improbable dans une combinaison de différents éléments.

     


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    Comprendre dans les temps ou les os commencent à sécher. Pas d’inquiétude le monde est réellement tout autour de toi. Les voies paradisiaques te donnent un crédit virtuel pour comprendre une infime partie de ton monde. La même vie toujours définit ta personne. Dépense et rit avec toutes les équipes sans être fidèle à un endroit précis. Les ventres mous avancent gentiment en rang desserré et les neurones à l’envers les électrodes débranchées te hissent. Les lumières décérébrées au front des curieux anonymes gravent dans les tréfonds d’un bâtiment gris des plus banales les nouvelles données. Parler debout et affronter les couloirs sombres situés entre deux rames branchées, non loin des mémoires mortes, abandonnées par absence de sens ou de santé mentale. Les rayons X traversent les globes oculaires et recherchent ton âme sans crier gare. Marcher dormir travailler parler conduire sourire … enchaînement en boucle d’instants de vies parois du vide en procession. L‘élimination des souvenirs est en cours et très court. Encore quelques secondes et les battements du cœur d’origine sera terminé. Le nouveau corps arrive. Il sort du cellophane. Il est inoxydable, droit, rentable et beau.

     


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