• Tisser des liens


    Ecrire au fil des siècles en latin
    Du monde où naissent chaque jour des lendemains
    A ne savoir pourquoi nous croyons pourtant à la fin
    De nos désirs de vivre et de sourire main dans la main
     

    A construire les faces cachées de ce chagrin
    Nous oublions tout et changeons de teint
    Pour une image lacérée un tableau peint
    Etre dans un état premier de la bouche au sein
     

    Puisses-tu ce jour dans l'ordre peser ce grain
    Apporter du monde des ombres, le plus lointain
    Où poussent les splendeurs nées de mon jardin
    Je te les offres pures au petit matin
     

    En attendant caché en face pour un rien
    Et pourtant imagine, j'aurais bien besoin
    D'entendre ton cœur battre près du mien
    Pour avancer debout sur un grand chemin.


  • Commentaires

    1
    Lundi 23 Avril 2007 à 08:13
    Tu...
    Tu n'a rien perdu de ton talent depuis mon absence . c'est un plaisir de revenir
    2
    Lundi 23 Avril 2007 à 10:10
    En effet,
    J'en perds mon Latin ;-)
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