L'aube des temps nouveaux construit les pages invisibles de nos luttes, données aux machines à souffrir. Pas encore un jours ou je ne noie les rimes écartelées dans les franges des mots, dans les marges des tons acerbes.
Tous ce que je dis, je pense que le plus simple est de jouer avec plutôt que d'essayer de le vivre seul en des pistes inconnues des doutes, des phrases sans rimes ni larmes. Confusion entendues dans les oreilles des ogres ventrus. Je garde un oeil ailleurs.
Rappelle toi dehors le temps qu'il fit et les mots que tu ne prononças qu'à demi. Quelqu'un d'autre pouvait descendre d'un nuage en apportant éclair et tempête.
En dessous d'un ciel trouble, le soir tombe rapidement. Le réconfort efface les peines. Elles nous entourent et nous les ignorons dans un cercle de bonheur. Le tien vient alors naviguer sur un arc en ciel.
Texte©Dhimwoe
Photo© L.C.