Nuage simplement déposé là sur le sol en guise d’offrande. Attaché à la détresse nichée sur une corde raide au-dessus d’un zeste d’espoir rallumé par des coquillages ardents enivrés sous les algues. Au fond des cales tout se ressemble. J’achève maintenant le formidable chemin égaré parfois en deux temps trois mouvements. Refroidit je me rapproche du cratère et entends là voix me dire : « j’ai essayé, je l’ai fait ». Sentir l’odeur de ta peau, souffler sur les bouts de tes rêves. Embrasser chaque parcelle de ton corps nacré aux senteurs d’été.
"embrasser chaque parcelle de ton corps nacré aux senteurs d'été", je ne sais si il est destiné, mais quelle chance à cette destination.