• L’ après nuit

    Seules dans les ténèbres nous disparaissons éternellement  à la naissance des aubes sans fin illimitées. Je pense à toi tous les jours. Parce qu’écrire est un acte d’amour. Parce que les cris dépassent l’entendement. Les styles s’affrontent et s’anéantissent. L’eau lourde des fonds gèle les corps en souffrance dans un creux de jours souterrain, embusqués dans l’art monstre des temps aujourd’hui disparus de douleurs échangées à deux. Les têtes sortent décorées de soins réels sans pastille, ni liquide, ni fumée. Le langage échangé produit des formes de bien être et d’alchimie encore cachée.

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