• L’air est saint de la colère


    Je bois dans l'Oblivion autour de murs un peu trop bavards à mon goût. Le droit au cinéma de regarder passer les ailes d'il en île. Je ne suis pas l'être à ces moments là. J'imagine l'autre en moi de la pluie d'été aux détours des bouts de Lune aux reflets incompréhensibles. Les cloches retentissent. Impossible de passer des projets dans beaucoup d'années. Lentement les coupes de fruits quittent l'éther des mornes vallées de pieds nickelés vers des tons aux regards colorés sans va nus pieds.

  • Commentaires

    1
    Mardi 28 Mars 2006 à 11:26
    Coucou
    Le temps bât la mesure, on se psychanalyse, les mots susurrent les absences, la nature sur le chemin fait ses confidences, on glisse sur les désirs qui nous gouvernent. Nos cœurs marqués par les morsures, se dilatent dans la seine.
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