• Ferme les yeux


    Dur troubles inconnus de tous, le tonnerre réveille mes maux enfouis dans un passé enterré sur des terres enneigées ou repoussent les mêmes plantes d'années en années. L'innocence continue à faire face aux printemps d'éveil sanglant. Sans penser aux paroles oubliées, ces dernières renaissent à l'aube des torrents ombragés. Ne vois pas de larmes dans mon passage lent et incomplet dans tes pensées lumineuses.

  • Commentaires

    1
    Vendredi 3 Mars 2006 à 15:03
    nous
    nous rejoignons dans notre démarche...j'apprécie beaucoup merci..Amicales pensées!
    2
    Vendredi 3 Mars 2006 à 15:28
    Et pourtant
    ce passage laisse une grande trace, un goût amer qui coule dans mes veines, un sourire mélancolique frappe ma tête, comme ton souvenir frappe mon coeur.
    3
    Vendredi 3 Mars 2006 à 16:49
    Ma névrose
    nous vivons de souvenirs refoulés dans notre sublimation de création afin de faire surgir le desir de la syntaxe desaxée de mon moi nevrosé.
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