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Entre ciel d'éther et terre de feu
Au son de cette bouche absente dont la voix m'a émue
Entendue dix fois et pourtant pas de visage dessus
L'ordre des choses laisse choir l'instant
En une gamme de notes amplifiées par moment
Pendent en silence souvent les chaires crues
Tendues auparavant au moment de croiser l'élue
J'imagine des terres de cendres à feu et à sang
J'en connais le chemin pour l'avoir vu enfant
Regard dans un désert sauvage perdu
Les routes droites aux destinations inconnues
Se multiplient tout au long du hors champs
Elles m'amènent à marcher assez longtemps
Jusqu'à des rivages où germe l'inconscient
Déchiquetés par endroit sauvagement
Comme si une horreur indicible s'était mise à nue
Le temps seulement d' y avoir à nouveau cru.
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Commentaires
Un passage...
L'inconscient au porte de la nature ... J'ai eu peu de temps sur les blogs du à mon déménagement, mais j'aime toujours te lire même si je l'avoue c'est plus rare ces jours-ci Bonne journée FabUn passage...
L'inconscient au porte de la nature ... J'ai eu peu de temps sur les blogs du à mon déménagement, mais j'aime toujours te lire même si je l'avoue c'est plus rare ces jours-ci Bonne journée Fab
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..et tout de sbtilité ce texte : Poèsie telle qu'on ne peut qu'aimer et chanter