Parcourus de nouvelles plus ou moins connues
Les journaux retracent l'histoire de celui qui l'a vécu
Il s'agit tout au plus d'une forme de peut-être
D'une interprétation faite des doutes où tu pénètres
Peu à peu par les moments le plus souvent vus
Un voile de crêpe blanc recouvre ton échine
Pliée tel le corps noir de la féline
Dans ce monde où nous aimons parler simplement
Les photos limitent le cadre au contour brillant
Poudre aux yeux pour ados en jean
L'image nous renvoi dans notre intérieur
Narcisse s'y noya béa de bon coeur
Il était bien midi quand il vit son ombre
A côté de lui apparu un visage sombre
A tout jamais effacée cette fleur
Le temps d'écri re pour répéter les mots
Tapés sur le clavier en un éclair tantôt
Il traverse les nuages, crée une fêlure
Les pétales légers flottent sur l'eau pure
Du courant de tes pensées sorties du vase clos.
il y a tant d'ombres qui passent en ce monde, quand un instant nous n'avons rien saisie de nos vies contenues, bise.