-
A la frontiere de
Atteindre en un rien de temps le pouvoir et les cimes
Au-dessus des nuages règne le froid silence
Où git en secret quelques gouttes de chance
Porté par les encouragements des foules anonymes
Entrouverte sur une bouche qui c'est tue
Encore à cheval sur le dernier courant
Les portes de l'humanité claquent au son dément
D'un esprit fort tourmenté par l'absence de salut
Il est pourtant passé le temps des grands orages
Les soldats de plomb fondent dans une vision à venir
Où les tièdes s'échauffent en observant la mire
Fixée sur les vieux écran déposés à la marge
Finir par tomber juste avant l'arrivée
A un pas seulement de la gloire et la vie
Il serait trop petit le monde pré établit
Pour les patins de bois proches et désirés.
-
Commentaires
..de mots et d'images comme on les aime .