• A la frontiere de

     

    Atteindre en un rien de temps le pouvoir et les cimes
    Au-dessus des nuages règne le froid silence
    Où git en secret quelques gouttes de chance
    Porté par les encouragements des foules anonymes

    Entrouverte sur une bouche qui c'est tue
    Encore à cheval sur le dernier courant
    Les portes de l'humanité claquent au son dément
    D'un esprit fort tourmenté par l'absence de salut

    Il est pourtant passé le temps des grands orages
    Les soldats de plomb fondent dans une vision à venir
    Où les tièdes s'échauffent en observant la mire
    Fixée sur les vieux écran déposés à la marge

    Finir par tomber juste avant l'arrivée
    A un pas seulement de la gloire et la vie
    Il serait trop petit le monde pré établit
    Pour les patins de bois proches et désirés.

     


  • Commentaires

    1
    Mercredi 16 Juillet 2008 à 23:05
    Tournures
    ..de mots et d'images comme on les aime .
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