• A froid


    Obtenir les réponses à ces demandes me conduis en roue libre dans l'essence liquide du terme de la station lunaire. Je suis aussi ton ami, cela pends au-dessus de moi alors prends-moi par le poing. Plus rien ne s'oppose à lu nuit, interroge-toi sur moi.
    Le phare montre les routes des phrases sans retour. Surtout ne pas ce retourner. Je dois quitter la terre, blesse moi ou retire l'indifférence, poids de ma souffrance. Tu as ce que tu veux pousser vers la face du réel acidulé. Conduis-moi à la limite de moi-même, personne n'est à accuser où à tuer. Remets le jeu au début et songe à l'heure des retours. Fuit l'amour s'il n'a plus goût de rien, échappe-toi maintenant, au plus fort des présages. Un jour de vent frissonnant je t'offre le plus beau de mes sourires devant mes yeux pétillant. Et tu envois les rimes tant aimées. Là où je suis les sentiments reposent en paix tout autour de pétales de rêves en flottaison lacustre.
    Maintenant le navire est arrivé à bon port. Pour ton sang chaud, reviens jusqu'à la fin des temps. Mon cœur bat uniquement à ta vue. Le poison fait effet et les heures sont comptées. Je reste debout, jure-le moi enterre moi vivant, jure-le-moi.

  • Commentaires

    1
    Jeudi 23 Février 2006 à 09:16
    le texte
    est dur "enterrem moi vivant", je ne sais que dire, ou peut être trop de chose à dire, ton texte est un reflet de l'humanité
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