• Signes d'ailes


    Impossible de tarir la source au moment ou je plonge dans ton regard. Dans un geste complaisant j'amène l'eau à ta bouche. Au plus loin de la forêt brille le feu du phare. Deux cents mètres mentholés autour de la souche. Dans ce cœur délabré tes yeux pluvieux produisent cette marre.
    Je pourrais être le symbole d'une autre époque. Je souhaiterais rester là, à être ta chose. Debout au milieu du désert, tel ce roc. Sans être mangé par les vers et te parler en prose

  • Commentaires

    1
    Mercredi 30 Novembre 2005 à 09:21
    ...voir vieillir....
    ...les pierres avant d'etre un vers....
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    2
    Jeudi 1er Décembre 2005 à 22:51
    prose
    délicate comme une rose, sentir leurs parfums mélanger à tes seins, quelques vers pour une vie entière
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