• Roc oeil de mots


    Mes mots sourds fragmentent mes pensées
    A n'en plus douter dès lors l'erreur s'est humanisée
    Les courbes lisses de ton corps égalisées
    Durent sur ton front plissé des formes ridées

    L'écorché vif se traine dans les dédales des quartiers
    Dissipe ses peurs d'inconnu à n'en pas douter
    Pour seul terrible mystère sa réelle durée
    Contre l'asphyxie il vaut mieux marcher

    Peut être qu'un bol d'air l'amène à se renouveler
    De son intérieur pourtant serpentent les alizés
    Ses vents lointains auraient pu l'envoler
    Car nullement si bas il aurait cru entrer

    Les roues des camions tournent pour te transporter
    Dans le feu d'une action librement inspirée
    Parcourir l'amour monstre pour œuvrer
    Dans un sens ici ou là tout est à recommencer.



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