Cent mille cuivres ajustés aux cadres noirs enfumés autour de la nuit décorée d'un zeste de sueur dans une atmosphère croisée de formes et de rumeurs. Sans cesse les bavardages se suivent, les rires fusent de-ci de-là sans pour autant divulger de quelconque vérités l'ambiance suit son cours par douleur ou par amour. Je reste dans les lieux tranquilles et simples sans pour autant m'ennuyer, mais plutôt à regarder, à observer les personnages sans clés déambuler dans des formes multiples et variées. Puis synchronisé par les cordes basses venues m'aiguiser, je retourne sur mes pas et croise son regard venu de je ne sais où.
Bonjour, je me suis précipitée lorsque j'ai vu ton nom dans les bloggs édités ;o). Les masques sont hypocrites...