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Père dû
Cire délavée formée dans l’ombre des folies passagères dérivées en averse. Je lègue les torpeurs astrales au plus faibles de mes chants ailés, au soleil ou sous la pluie. Vie plus rose, tu changes le cours des moissons. Au-dessus des puissants les rimes s’éternisent s’entrechoquent et tournent en rond dans des pièces carrées. Les illogismes fond écho aux tourbillons de l’ennui.
Je suis venu ici pour me battre pour montrer ma bravoure, les applaudissements ne sont pas nécessaires, ni les chrysanthèmes. Eviter de baisser les yeux sur les espaces perdus. Ma main pend les feux lentement tournés en phase d’extinction. S’accumulent dans les natures humaines poussées en des terres de blés brûlés, d’un meilleur avril. Je vois le vide à travers ton regard, mon image se reflète probablement dans un ailleurs aux moment ou tu écris en thème. Une radiographie pourrait me donner l’illusion d’une certitude et traverser mon cercle protecteur avec son rayon inconnu.
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Commentaires
Les cris sans thèmes ne sont pas ceux que je préfère.