Filer plier, lance aiguisée et sentier lumineux. Les croqueurs de singes défilent le long des paradis d'artifices pour semer le doutes et remettre en question les certitudes accomplies depuis plus d'un million d'années ( et toujour en été). L'élastique entre les pieds le rempart dans le dos au milieu l'élue saute et repasse ces vieux plis accomplis dans une danse frénétique ignorée de tous sauf de ces quelques ahuris au teint de mai. Les bouquets sont donc garnis.

Enfermé derrière l'atmosphère irradiée de ce temps d'avant l'été les pousses sauvages mènent à grand battage leurs rumeurs bientôt effacées des neurones fragilisées. Encore un peu de temps et la muraille de silence aux parois invisibles délivrera les sculpteurs d'argile en produisant des saint bien dressés.