A travers les coquillages semés de-ci de-là, le long des avenues tranquilles, se tournent et se couchent les chevaux noirs, aux yeux rouges. Situés à l'autre bout de la Terre ces instants se découvrent au petit jour glamour. Les vents et les pluies torrentielles nettoient violemment cet espace de ciel ou je sent poindre le jour arrimé dans mes pensées éclaircies en un tour. Les cordes sensibles vibrent à l'aunes des images passées. En un laps de temps plutôt court, les mots non prononcées laissent des traces d'images fugaces s'enchaîner avant le passager de l'aube naissant.
vers d'autres horizons, mes pensées l'accompagnent, au firmament, par de là les étoiles.