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Les cieux rouges
Sur les flots des temps remuent les sphères brillantes, lisses et lumineuses. Pierres et ombres immuables. Mouvement continu sur la surface verticale. Chaque joues, chaque heures ton visage pâlît. Si tu vas au-delà des frontières marquées par le désert de tous nos cimetières gardent toi bien d'éprouver toute peur et toute rancœur, la misère des fonds n'a pas d'égal sur les sites sans teint ni regards. L'effroyable arrive à ta porte sans sonner ni frapper. Le fond de nos sentiments resurgit en un instant, le dernier probablement avant le passage du réel au virtuel. A la limite de la terre des corps parcourus de frisson surgit d'inévitables paroles attendries par le temps. Les regards fondent et les yeux se ferment.
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Commentaires
2Comité de soutienMercredi 1er Février 2006 à 11:36pour
la promotion de la littérature et de la poésie. Action : Blogroller. Qui : Full-Ovaire - Maitresse - Bah - Nad Kevin - Colline - Entre Ombres et Lumières - Double Je - Art et Miss - Cent Nouvelles - Ebauche - Réservoir Blog - Polygraphie indolore - Dhimwoe - Charivari - Des choses pareilles - Tsedek. But : Mettre un terme au lobby du trio de tête. Merci.Je suis vivante...
ne t'inquiète pas mais je ne réponds pas... Plus que quelques semaines et ce sera passé. Je t'embrasse tendrement, merci...4SouvenirMercredi 1er Février 2006 à 14:28aux portes
Aux portes de l’oubli, tendre amour meurtri, le visage fondu, l’esprit à nu, je dévale les vallées dans l’obscurité, suivant les corbeaux porteurs de messages ingrats de rage, il faut laisser place, que la vie s’efface, oublier la vie que l’on ne vit pas6ceci-celaJeudi 2 Février 2006 à 06:55
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