• Lache à l' heure

    Sublime la ville est là, je l'entends vibrer sous mes pas. Elle ouvre ses portes sur les fils des nombreux néons. La foule avide est comme je l'aime. Je traîne mon désir toujours je vibre entièrement de toute ma chair et ma joie aux angles des immeubles en pierres anciennes, aux signes lumineux aperçus derrière les portes. Cette folle chaleur dans la peau qui s'appelle peut être bonheur tourne en des sens aléatoires imprévus et inconnus, au départ. Partir encore, un matin, une aube fraîche, la tête clair les idées bien attachées.
    Donne-moi un chiffre au hasard, je t'en donnerai le sens plus tard. Des voix perdues traversent les nuages aux visages imaginaires. Le mouvement seul de nos cœurs en sursis se rhabillent debout. Tu aurais toujours l'air d'avoir déjà l'idée de t'en aller alors... Alors, partir encore, le sable, l'océan, l'horizon, le ciel, la grande lumière tragique. Partir, sur le bord d'une mer bleue l'urgence ne se formule pas elle existe dans ma peau.




  • Commentaires

    1
    Mercredi 23 Août 2006 à 12:01
    Chaleur
    Baigner dans son âme, fusionner avec sa chaleur, reflet de cristal, comme ton coeur dans le mien, filament d'argent, transperce moi de ta lame, couvre toi de mon sang des mes larmes, je t'appartiens.
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