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La boite du paon d'or
La même terre nous
force à reculer. Sur les terrains de chasse armée de
mon pic, les serpents à plumes volent au soleil, le vent n'en
à cure. Au son des ailes les défis des mers lointaines
confirment les tempêtes Les troncs des grands arbres flottent,
les vagues déferlent sur les grèves ensablées.
Parmi les galets de ces lieux apocalyptiques des hommes sans âge
et sans visage m'emmènent vers des marécages putrides.
Pourrais-je me sauver ? N'est il pas trop tard ? Dans un de ces
lagons humides ou coule un torrent d'idée et d'espoirLe tombeau m'apportera
mon repos. Je chante dans le noir pour ne pas avoir peur, j'aperçois
un vivant, je le poursuis sans savoir jusqu'ou je vais encore
m'enfoncer dans ces ténèbres d'ou nul jamais n'est
revenu. Course folle à travers des crânes entassés.
Du gris au-dessus de ma tête, soudain des orages se font
entendre, le vent souffle légèrement, le froid
m'assaille. La pluie me réveille, le pont est maintenant face
à moi, je le prend. De l'autre côté, une lumière
semble brillée.
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Commentaires
c de la merde ton site géla sans vouloir t'accuser