• La boite du paon d'or



    La même terre nous
    force à reculer. Sur les terrains de chasse armée de
    mon pic, les serpents à plumes volent au soleil, le vent n'en
    à cure. Au son des ailes les défis des mers lointaines
    confirment les tempêtes Les troncs des grands arbres flottent,
    les vagues déferlent sur les grèves ensablées.
    Parmi les galets de ces lieux apocalyptiques des hommes sans âge
    et sans visage m'emmènent vers des marécages putrides.
    Pourrais-je me sauver ? N'est il pas trop tard ? Dans un de ces
    lagons humides ou coule un torrent d'idée et d'espoir



    Le tombeau m'apportera
    mon repos. Je chante dans le noir pour ne pas avoir peur, j'aperçois
    un vivant, je le poursuis sans savoir jusqu'ou je vais encore
    m'enfoncer dans ces ténèbres d'ou nul jamais n'est
    revenu. Course folle à travers des crânes entassés.
    Du gris au-dessus de ma tête, soudain des orages se font
    entendre, le vent souffle légèrement, le froid
    m'assaille. La pluie me réveille, le pont est maintenant face
    à moi, je le prend. De l'autre côté, une lumière
    semble brillée.





  • Commentaires

    1
    brice
    Mardi 20 Septembre 2005 à 17:44
    surf
    c de la merde ton site géla sans vouloir t'accuser
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