• L'avoir naitre

     

    L'absolue nécéssité d' Être en continu
    Pour voir, sentir et entendre un univers
    Remplis de pousses vertes entre les pierres
    Dans un mouvement chaotique en quête d'absolu

    La perpétuelle activité de croissance est liée à ce monde
    Le premier et dernier né passe de la neige au feu
    Mourir et donner à l'autre une place pour ces voeux
    Dans un espace infini, terrible où les mots abondent

    Partie d'un néant comblé par nous deux
    J'accroche des mots vides aux rayons des étoiles
    Apperçues au plus profond de la nuit dans un râle
    Couvert des échos venus des demeures couvertes de bleus

    Chacun meuble le lieu de sa subjectivité
    Reprise en choeur dans des ilôts d'interprétations
    Ils se rapprochent d'une vérité, produit de nos visions
    Et se soudent à une parcelle de vie quand bon leur plaît.


  • Commentaires

    1
    Jeudi 22 Novembre 2007 à 07:58
    quand
    bon leur plaît... c'est bien vrai !
    2
    Vendredi 23 Novembre 2007 à 10:13
    Et ...
    ...mets mots s'accrochent au teint en étoiles qui éclaire mes songes en partage de la vie faire ce qu'il te plait ... Toute mon amitié
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    3
    Dimanche 25 Novembre 2007 à 17:25
    votre univers
    votre univers à tous les deux, sans nul doute, l'Absolu
    4
    Lundi 26 Novembre 2007 à 10:25
    4ème lecture
    j'adore vraiment ce poème...bise et bon début de semaine à toi
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