• L'age noue


    L'interminable parfois me rend malade
    Si noble et si belle vêtue de tes larmes
    Dans un tout caché défendu par nos armes
    De pureté vraie dans l'espace que tu regardes

    Victime de serments tendus en des yeux clairs
    Plus gros que le cœur ancré dans la franchise
    Des histoires tendres autrefois apprises
    A la douceur des paroles de nos pairs

    Loin des clochers d'antan qui nous faisaient taire
    Échangées hier encore le prix des promesses
    Courraient tout le long de songes revus à la baisse
    Toujours à l'horizon des soleils au rayon vert

    S'inclinent les jours de joies et de beauté de rêves
    Où l'on est seul face aux dernières lueurs
    De mots innocents jamais dits par peur
    De se retrouver loin d'un espoir qui nous crève

    Tatouage sur peau satinée d'une étoile
    En signe de passage vers un nouvel horizon
    Dont personne ne voit vraiment la raison
    Dictée par ce déni de lever ton voile.

     

     


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