• Haut miroir. Oh !


    Vois les nuits jeunes portées au travers des résultats déposés entre les dares aiguisés et léger des sources profondes. La suite sans importance fuit dans les mouvances rythmiques des os frappés par le froid. La qualité du film échappe au pratagoniste engagé dans l'action cinglante et clignotante. Voici les choses gardées et détournées de tes fils de terreur. Mainteant libéré des nerfs tombés dans la rivière de sérénité. Les plans sont faux et pourtant tu as trouvé la sortie vers l'océan. Ne plus rien croire et se reconcilier avec soi et l'autre en soi. La prochaine étape de la croissance fais peur sans masque. Brille et atteint les sommets.

  • Commentaires

    1
    Mercredi 22 Février 2006 à 10:37
    sans masque
    Je ne peux briller, je demeure dans l’obscurité, la lumière me fait mal, je dois l’éviter, je ne veux plus être immergé par cette vague de sang, je veux couler, qu’elle remplisse mes veines de toute ma haine, je veux périr, pour ne plus me souvenir, faire partie des songes qui demeurent et qui meurent, quitter ce corps ankylosé, qui ne veut plus avancer…....... Merci pour cette source d'inspiration un grand merci
    2
    sas
    Mercredi 22 Février 2006 à 10:42
    Tes textes...
    ...sont réellement superbes, je te 'blogrolle' si tu n'y vois aucune objection. C'est un enchantement de te lire!
    3
    Mercredi 22 Février 2006 à 16:50
    tj aussi beau
    la mort me parraît douce quand la souffrence obscur ma pulsion de vie .
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