Parsemé dans les décombres décharnés des nuits glacées j'ère dans des terrains flous parcourus d'images inclassables. Les neiges virtuelles frappent mes joues imberbes d'un pâle miroir brisé. De rouges elles se teintent, au détour des reliefs assassinés.
Camouflé dans les failles des murs fissurés les papiers froissés s'ancrent de lettres fines au sens énigmatique. Silencieux, décidé à se taire les lumières de sortie donne le ré aux couleurs disséminées de l'autre côté d'une page sourde détournée.
imberbe qui laisse pousser le verbe pour y voir éclore les rimes et les images silencieuses mais lumineuses. Bonjour Dhimwoe.