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Fenêtre sur l Autre
Je recouvre de feuilles mortes les plaies
Laisse à l'hivers le soin d' ensevelir mon corps
Dans une forêts silencieuse au couleur d'or
Où tous les pins bien espacés restent dressésLa-bas j'entends le vaste chantier
Des forçats mugissent et se brisent
Collée au fer voix indécises
Tu cherches à nouveau un alliéJ'aime entendre le tintement des aiguilles
Sous mes pas défilent des lieux spacieux
Qui n'ont rien à enviés à ta ville
Si tu y étais tu penserais au mieuxA l'ombre froide du dernier banc
J'imagine au détour changer la donne
Des coups liés pour devenir grand
Et rejoindre le plus fort sur son trône.
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Commentaires
le trône hivernal
serait sans doute un trône de glace pareille à du cristal que l'on pourrait faire fondre de nos simples fesses...LOL! humeur guillerettes cette après midi...bise
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Union de mots, alliance de raison, pour un poème de saison.