• Du relief sur les pages

     

    Un petit cahier pour déposer mes états d'âme
    Des éclairs fondent sa la surface en ciel d'eau
    Ai-je vue cela en re écrivant mes mots ?
    Ou bien était-ce au moment le plus infâme ?

    Qu'importe après tout vient s'y poser le vent
    Il apporte avec lui de quoi gonfler ton orgueil
    Souffle sur le corps en écarte les feuilles
    Le texte respire dans un dernier moment

    L'irrationnel teinte mon raisonnement
    Les lignes de vies se croisent et s'entrechoquent
    Dans un instant encore elles atteindront le roc
    Et puis les carreaux aux limites des grands présages

    Quand enfin retourné loin derrière mis au ban
    De l'encre et du feutre  coupent ces cordes à nos cou
    Les marges muettes deviennent inutiles pour nous
    Elles vibrent pourtant encore dans notre champ.
     


  • Commentaires

    1
    Jeudi 25 Septembre 2008 à 13:25
    Touche
    de sensibilté et de profondeur.
    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :