-
Décomposition naturelle
Courir nu sans pudeur à la dérive
Quand s'envole aux vents les certitudes
D'une aire rempli de plénitude
A nous de joindre à deux l'autre riveEt d'éclipser les formes lascives
Parsemées le long des folles coursives
Bordées d'un front large d'étincelles
Pour y voir en détail la tour jumelleDe cendres en cendres les problèmes persistent
Le décor change et les maux s'entêtent
Les fils nient les feux produits par l'interprète
Et forment des noeuds là où toi tu resistesMême attaché tu geins tu t'étires
Près de la convulsion je crains le pire
Fractionner dans l'immense dédale
L'écho se morfond dans un dernier râle.
-
Commentaires
le dédale
de l'immensité avoue, rien ne n'est avant que d'être créer...et qu'il n'est de soleils qui meurent à genou sans avoir vu le ciel se déchirer de partout...
Ajouter un commentaire
magnifique chanson des mots et de leurs sens qui me ravissent...merci Dhimwoe*