-
De hautr en bas
Bois en mon regard figé cette saveur
De journées noires infinis en étant moi
Ecoute attentivement chanter les chœurs
Chacun dans son fauteuil les rayent d'une croixEriger au milieu du néant des censeurs
Jentraine sur le front des ombres nues aux abois
Parmi celles-ci j'ai pris l'âme des meilleures
Au zénith j'écrirais leur nom sur la paroiRhabille toi en silence c'est bientôt l'heure
De descendre dans les fosses du désarroi
Crains donc tout au fond du délire ma fureur
J'effrite mes rires malins face à la loiA l'étrange moment apparaît la lueur
Pour éclairer en haut nos brûlures et nos joies
Laisse cette ouverture t'inonder de couleurs
Et explose au ralenti ta prose ici bas.
-
Commentaires
2PatochardMardi 23 Janvier 2007 à 14:09Ce poème
est un miroir pour moi, il me réfléchit, mes traits de caractère lui sont propres et n'attends que la mort de si haut pour ici bas...Spam
Dhimwoe : désolé le Monde avait mis ton commentaire dans les spams ! ! ! Un grand merci et encore désolé , je vais suivre cela de plus présLa prose
n'explose plus nulle part, la mienne, trop d'overdose, ma prose fait une pause, comme moi......
Ajouter un commentaire
Kikou, merci pour ton commentaire, je suis sur photophiltre, et d'autres petits logiciels comme canon photo et le site photophitre est trés bien expliqué Voili voilou Merci ton com il m'a fait trés plaisir A bientôt Hiéro