• De hautr en bas



    Bois en mon regard figé cette saveur
    De journées noires infinis en étant moi
    Ecoute attentivement chanter les chœurs
    Chacun dans son fauteuil les rayent d'une croix


    Eriger au milieu du néant des censeurs
    J‘entraine sur le front des ombres nues aux abois
    Parmi celles-ci j'ai pris l'âme des meilleures
    Au zénith j'écrirais leur nom sur la paroi


    Rhabille toi en silence c'est bientôt l'heure
    De descendre dans les fosses du désarroi
    Crains donc tout au fond du délire ma fureur
    J'effrite mes rires malins face à la loi

     

    A l'étrange moment apparaît la lueur
    Pour éclairer en haut nos brûlures et nos joies
    Laisse cette ouverture t'inonder de couleurs
    Et explose au ralenti ta prose ici bas.


  • Commentaires

    1
    Mardi 23 Janvier 2007 à 13:54
    Merci
    Kikou, merci pour ton commentaire, je suis sur photophiltre, et d'autres petits logiciels comme canon photo et le site photophitre est trés bien expliqué Voili voilou Merci ton com il m'a fait trés plaisir A bientôt Hiéro
    2
    Patochard
    Mardi 23 Janvier 2007 à 14:09
    Ce poème
    est un miroir pour moi, il me réfléchit, mes traits de caractère lui sont propres et n'attends que la mort de si haut pour ici bas...
    3
    Mardi 23 Janvier 2007 à 15:01
    deux jours
    à lire et encore du plaisir !
    4
    Mardi 23 Janvier 2007 à 16:01
    Spam
    Dhimwoe : désolé le Monde avait mis ton commentaire dans les spams ! ! ! Un grand merci et encore désolé , je vais suivre cela de plus prés
    5
    Flo
    Vendredi 26 Janvier 2007 à 13:28
    La prose
    n'explose plus nulle part, la mienne, trop d'overdose, ma prose fait une pause, comme moi......
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