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A nul autre n'oublie
De la même couleur que l'aigue marine
Cette lumière brille sur sa poitrine
Un coup du sort venu d'un autre âge
Traverse nos faibles chairs en esclavageNeige fondue par delà les plus hauts monts
Demeures entourés de pierres pour l'oraison
Là vivent parfois des sortes d'hommes
Plus rien d'anodin dans leur cœur résonneUne fois certaines routes traversées
L'air si pur après avoir tant manquée
Fini par perdre toute sa valeur passée
Les sons se dispersent et les laissent muetsLa force ancrée dans leur intérieur
Ne laisse plus apparaître aucun leurre
Laissez passer les images des anciens pays
Où l'on croyait pourtant amener la vie.
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