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Et du sang plein les yeux
Des chances rouges
J’encercle ces terres de feu
T’occupe pas je bouge.
Encore des formes touchent le bord
Poursuit le voyageur de l’ombre
Bientôt tu débarqueras à bon port
Derrière toi je cours en trombe.
Décline les vers en eau trouble
Renverse dans les mers de perles
Toute cette histoire découvre mon double
Tourne dans ce sens frêle.
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La veine plie
Le corps ce baffe.
En pleine vie
Au fond des affres.
L’enclin devint.
Un sourire tu m’offres
En vint des plis.
Les portes du coffreEn fin délit.
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Eviter de rentrer dans tes secrets et voir la nuit en couleur en entendant l’eau couler dans les tranchées au fond des prés. Rester brillant jour et nuit enfermé dans des tours de main où y voir retourne de l’exploit. Abandonner en ces phares de beauté au profond rugissant signé par des bulles, au-dessus de chaque personnage. En voyages vers des couleurs encrées sur des voiles gonflées par les vents. Je brise mes toiles pour te voir à nouveau dans ces dimensions hors limites.
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J’entrouvre les portes closes
S’emmêler dans les champs
J’entoure les portes roses
Sang mêler dents méchantes
J’en tourne de proses
S’en mêler dans les chants
Laisse la note là sur la portée
La note salée en nuit brame
Sel et vagues sous les étoiles
Pale peau satinée perlée de larmes
L’œil luit, éclaire la bougie
Flamme de sens, rallume ma chance.
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Trouver l’objet propre comme indice
Le bleu des vagues endor mon esprit
Jete le caillou dans la case dix
La brume recouvre de monstres l’incompris
Pullule dans les carrés numérotés
Les manques de paroles enfin audibles
Ces marques de langues tant convoitées
S’en nourrir face aux hères pile dans la cible
Retourne les rancœurs sur ton visage
Auprès des chemins tracés dans le temps
Emmène-moi vers de nouveaux paysages
Là, ma marelle dessinée s’efface aux quatre vents
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